Je vous salue
Je vous salue pays pleins de grasses richesses,
ouvrez la porte, ouvrez, aux oiseaux en détresse,
souffrants et torturés, tirés par des chasseurs,
sous la botte écrasés des soldats oppresseurs,
en souffrance de faim, d’abandon, sans adresses.
Je vous salue pays !
Je salue l’ennemi qui vivait dans la haine,
qui découvrit à l’aube en nos yeux tant de peine,
tant de malheur au cœur qu’en amour émigra,
en fut boulversifié, sacrifia le veau gras,
tout en lui mit à bas de la rabia la graine.
Salut la haine amie !
Salut l’indifférent qui croit plus important
son petit cours de vie, ne voit pas qu’il est temps
d’aviser son voisin versé dans la mouscaille.
Tendre la main sans en attendre une médaille,
sauver ce pauvre humain te révélera tant.
Salut le différent !
“Salaud de pauvre”, ainsi que reprenait Coluche,
Plutôt que de rester assis comme une cruche,
traverse donc la rue, allez fais pas ton snob !
Tu trouveras, il te l’a dit, un sacré job,
et si ne trouves point, reste à manger des pluches.
Salut pauvres de nous !
Je vous salue amis, bienveillance et sourire,
vous pouvez la chanter celle-là qui soupire,
qui clame vos exploits, de Georges B. je crois.
Dans votre élan du cœur, vous avez de surcroît
entraîné des légions, de celles qu’on admire.
Salut Amies Amis !
Je te salue famille, me fis croire en la vie
et plus que tout donnas de liberté l’envie,
autant d’autonomie, partage et probité,
pour l’avant et l’après, de sensibilité.
Ainsi soit-il et survivance à l’entre vie !
Je salue mes familles !
Je te salue la Vie, à quelques ans de là,
tu m’accueillis un jour, en douce, a cappella.
Tu m’as pris par la main, de cet envers si terne
m’as conduit à l’endroit, au clair de ta lanterne.
Chemin que j’aimerai jusques à l’au-delà.
Salut la belle vie !
Je vous salue
Je vous salue pays pleins de grasses richesses,
ouvrez la porte, ouvrez, aux oiseaux en détresse,
souffrants et torturés, tirés par des chasseurs,
sous la botte écrasés des soldats oppresseurs,
en souffrance de faim, d’abandon, sans adresses.
Je vous salue pays !
Je salue l’ennemi qui vivait dans la haine,
qui découvrit à l’aube en nos yeux tant de peine,
tant de malheur au cœur qu’en amour émigra,
en fut boulversifié, sacrifia le veau gras,
tout en lui mit à bas de la rabia la graine.
Salut la haine amie !
Salut l’indifférent qui croit plus important
son petit cours de vie, ne voit pas qu’il est temps
d’aviser son voisin versé dans la mouscaille.
Tendre la main sans en attendre une médaille,
sauver ce pauvre humain te révélera tant.
Salut le différent !
“Salaud de pauvre”, ainsi que reprenait Coluche,
Plutôt que de rester assis comme une cruche,
traverse donc la rue, allez fais pas ton snob !
Tu trouveras, il te l’a dit, un sacré job,
et si ne trouves point, reste à manger des pluches.
Salut pauvres de nous !
Je vous salue amis, bienveillance et sourire,
vous pouvez la chanter celle-là qui soupire,
qui clame vos exploits, de Georges B. je crois.
Dans votre élan du cœur, vous avez de surcroît
entraîné des légions, de celles qu’on admire.
Salut Amies Amis !
Je te salue famille, me fis croire en la vie
et plus que tout donnas de liberté l’envie,
autant d’autonomie, partage et probité,
pour l’avant et l’après, de sensibilité.
Ainsi soit-il et survivance à l’entre vie !
Je salue mes familles !
Je te salue la Vie, à quelques ans de là,
tu m’accueillis un jour, en douce, a cappella.
Tu m’as pris par la main, de cet envers si terne
m’as conduit à l’endroit, au clair de ta lanterne.
Chemin que j’aimerai jusques à l’au-delà.
Salut la belle vie !