mort mer amour
La mort fauche du seul outil qu’elle sait manipuler.
Sans distinction d’âge, de genre, de peau, de religion,
de richesse de cœur, de fortune matérielle,
elle met fin à des vies qui suppliaient de s’achever,
au bout du rouleau,
à des vies qui avaient entrevu un futur
qui jamais ne sera.
Et quand elle est passée, il n’y a plus d’après.
La mort n’est rien, un rien au funeste effet,
tout juste un point, un point final.
Mais sans mort, point de vie !
La mer a donné naissance à la vie,
la plus élémentaire comme la plus complexe,
sans distinction...
Elle purifie l’air et toute matière qu’elle reçoit.
Mais elle se meurt sous les coups portés par l’Homme,
l’Homme cupide, avide de biens matériels,
fou de domination, de puissance destructrice,
inconscient qu’il tarit la source de vie de ses enfants.
Au commencement était la mer,
écume blanche où s’est écrit le mot vie.
Sans mer, point de vie !
L’amour naît d’un regard, d’un mot ou d’un contact,
il porte et emporte les cœurs et les corps.
L’amour submerge sans distinction...
Il réveille l’esprit qui s’étiolait,
redonne envie, élève à l’en vie, le tout à l’envi.
Il révèle la beauté du visage et de l’âme,
ranime la flamme et de son arc triomphe des obstacles.
L’amour est le point d’interrogation,
la virgule de respiration, l’espace d’ouverture, et...
le point d’exclamation devant ce qu’il fait naître.
Oui, sans amour, point de vie !
La mort fauche du seul outil qu’elle sait manipuler.
Sans distinction d’âge, de genre, de peau, de religion,
de richesse de cœur, de fortune matérielle,
elle met fin à des vies qui suppliaient de s’achever,
au bout du rouleau,
à des vies qui avaient entrevu un futur
qui jamais ne sera.
Et quand elle est passée, il n’y a plus d’après.
La mort n’est rien, un rien au funeste effet,
tout juste un point, un point final.
Mais sans mort, point de vie !
La mer a donné naissance à la vie,
la plus élémentaire comme la plus complexe,
sans distinction...
Elle purifie l’air et toute matière qu’elle reçoit.
Mais elle se meurt sous les coups portés par l’Homme,
l’Homme cupide, avide de biens matériels,
fou de domination, de puissance destructrice,
inconscient qu’il tarit la source de vie de ses enfants.
Au commencement était la mer,
écume blanche où s’est écrit le mot vie.
Sans mer, point de vie !
L’amour naît d’un regard, d’un mot ou d’un contact,
il porte et emporte les cœurs et les corps.
L’amour submerge sans distinction...
Il réveille l’esprit qui s’étiolait,
redonne envie, élève à l’en vie, le tout à l’envi.
Il révèle la beauté du visage et de l’âme,
ranime la flamme et de son arc triomphe des obstacles.
L’amour est le point d’interrogation,
la virgule de respiration, l’espace d’ouverture, et...
le point d’exclamation devant ce qu’il fait naître.
Oui, sans amour, point de vie !
La mort fauche du seul outil qu’elle sait manipuler.
Sans distinction d’âge, de genre, de peau, de religion,
de richesse de cœur, de fortune matérielle,
elle met fin à des vies qui suppliaient de s’achever,
au bout du rouleau,
à des vies qui avaient entrevu un futur
qui jamais ne sera.
Et quand elle est passée, il n’y a plus d’après.
La mort n’est rien, un rien au funeste effet,
tout juste un point, un point final.
Mais sans mort, point de vie !
La mer a donné naissance à la vie,
la plus élémentaire comme la plus complexe,
sans distinction...
Elle purifie l’air et toute matière qu’elle reçoit.
Mais elle se meurt sous les coups portés par l’Homme,
l’Homme cupide, avide de biens matériels,
fou de domination, de puissance destructrice,
inconscient qu’il tarit la source de vie de ses enfants.
Au commencement était la mer,
écume blanche où s’est écrit le mot vie.
Sans mer, point de vie !
L’amour naît d’un regard, d’un mot ou d’un contact,
il porte et emporte les cœurs et les corps.
L’amour submerge sans distinction...
Il réveille l’esprit qui s’étiolait,
redonne envie, élève à l’en vie, le tout à l’envi.
Il révèle la beauté du visage et de l’âme,
ranime la flamme et de son arc triomphe des obstacles.
L’amour est le point d’interrogation,
la virgule de respiration, l’espace d’ouverture, et...
le point d’exclamation devant ce qu’il fait naître.
Oui, sans amour, point de vie !
La mort fauche du seul outil qu’elle sait manipuler.
Sans distinction d’âge, de genre, de peau, de religion,
de richesse de cœur, de fortune matérielle,
elle met fin à des vies qui suppliaient de s’achever,
au bout du rouleau,
à des vies qui avaient entrevu un futur
qui jamais ne sera.
Et quand elle est passée, il n’y a plus d’après.
La mort n’est rien, un rien au funeste effet,
tout juste un point, un point final.
Mais sans mort, point de vie !
La mer a donné naissance à la vie,
la plus élémentaire comme la plus complexe,
sans distinction...
Elle purifie l’air et toute matière qu’elle reçoit.
Mais elle se meurt sous les coups portés par l’Homme,
l’Homme cupide, avide de biens matériels,
fou de domination, de puissance destructrice,
inconscient qu’il tarit la source de vie de ses enfants.
Au commencement était la mer,
écume blanche où s’est écrit le mot vie.
Sans mer, point de vie !
L’amour naît d’un regard, d’un mot ou d’un contact,
il porte et emporte les cœurs et les corps.
L’amour submerge sans distinction...
Il réveille l’esprit qui s’étiolait,
redonne envie, élève à l’en vie, le tout à l’envi.
Il révèle la beauté du visage et de l’âme,
ranime la flamme et de son arc triomphe des obstacles.
L’amour est le point d’interrogation,
la virgule de respiration, l’espace d’ouverture, et...
le point d’exclamation devant ce qu’il fait naître.
Oui, sans amour, point de vie !