En 2015...
Cette année, j’ai vingt ans ! Avoue, tu n’y crois pas.
Quel farceur ! te dis-tu, quelle nouvelle fable ?
La jeunesse fleurit comme noires et blanches
crochées à la portée qu’une clé de sol ouvre.
Elle croît tout autant aux rameaux de la danse,
s’épanouit en ronds, corolles collectives.
Sur un terreau nourri à la curiosité,
elle bourgeonnera du temps des découvertes.
Elle joue le partage, en jeu de connaissances,
et reçoit en retour la joie de voir grandir.
Et par-dessus tout ça, si tu as labouré,
si tu en as semé, l’amour récolteras.
Un chant dit « Quand on aime, on a toujours vingt ans. »
Serait-ce l’élixir d’éternelle jeunesse ?
D’aucuns croient se nourrir de bas morceaux de haine.
En rides dépitées leurs visages s’affaissent.
Tandis que toi qui aimes, encore et toujours aimes,
éclaires ton visage en lumineux sillons.
Alors à nos vingt ans ! Et qu’ils durent longtemps,
un an disons au moins, en bail renouvelable.
En 2015...
Cette année, j’ai vingt ans ! Avoue, tu n’y crois pas.
Quel farceur ! te dis-tu, quelle nouvelle fable ?
La jeunesse fleurit comme noires et blanches
crochées à la portée qu’une clé de sol ouvre.
Elle croît tout autant aux rameaux de la danse,
s’épanouit en ronds, corolles collectives.
Sur un terreau nourri à la curiosité,
elle bourgeonnera du temps des découvertes.
Elle joue le partage, en jeu de connaissances,
et reçoit en retour la joie de voir grandir.
Et par-dessus tout ça, si tu as labouré,
si tu en as semé, l’amour récolteras.
Un chant dit « Quand on aime, on a toujours vingt ans. »
Serait-ce l’élixir d’éternelle jeunesse ?
D’aucuns croient se nourrir de bas morceaux de haine.
En rides dépitées leurs visages s’affaissent.
Tandis que toi qui aimes, encore et toujours aimes,
éclaires ton visage en lumineux sillons.
Alors à nos vingt ans ! Et qu’ils durent longtemps,
un an disons au moins, en bail renouvelable.