CàD > Mots dits hier

Jouer à pigeon vole
ou pigeonné à pigeon volé

Attention, le petit oiseau va sortir
et il deviendra... libre comme l’oiseau.

Un hypocoristique n’est pas un choriste diminué parce qu’il a perdu sa hache.

Un tour de cochon, quelle vacherie !

Haine-amour es-tu le couple des amours reines ?

Ne joue plus au chat et à la souris,
aux chat(te)s souris de toutes tes joues.

Suffit-il d’être frisé comme un mouton
pour devenir doux comme un mouton ?

Alouettes surprises de se découvrir sans tête
dans un miroir aux alouettes surprises de se...

Même en marchant sur des œufs,
ne piétinons les crânes d’œufs.

La partie la plus solide
explose sous la pression
de la partie la plus faible.

Avant la prochaine édition des élections,
se lèvent en proche sédition des électeurs,
bravant l’approche et disant Non aux candidats
au concours de la plus forte langue de bois.

Le feignant feint d’avoir faim.

Moi qui aime tant lire sur le compteur de mon auto des nombres particuliers comme 12345, 25252, ou encore 66199, j’ai vu hier 97058. Rien de remarquable, pourtant je l’ai regardé passer avec tendresse quand j’ai compris qu’il était unique.

Les chats ne font pas des chiens pourtant quelquefois la montagne accouche bien d’une souris.

Gourmet n’a pas de féminin sinon gourmette !
La Femme serait-elle interdite
du doux plaisir de la bonne chère
ou de la chair tout court ?

29/08/2006	Les ani-mots Jouer à pigeon vole ou pigeonné à pigeon volé	30/08/2006	Les ani-mots Attention, le petit oiseau va sortir et il deviendra... libre comme l’oiseau.
31/08/2006	Site en panne de mots pour travaux sur des maux.	01/09/2006	Une cure de chant et un autre de danse, soins du corps et de l’âme et harmonisation.
02/09/2006	Non-définition Un hypocoristique n’est pas un choriste diminué parce qu’il a perdu sa hache.	04/09/2006	J’accepte d’autant plus aisément l’influence de l’Autre sur moi qu’elle me permet de rejeter sur lui la responsabilité de ce qui m’arrive.
05/09/2006	Deux femmes dont une sage m’ont aidé à naître. Une femme m’accompagne parfois pour vivre. Je me débrouillerai bien tout seul pour mourir.	06/09/2006	Dick (Annegarn) disait : « ... ou pansent-ils leurs plaies ? » Ou pense-t-il qu’il leur plaît ?
07/09/2006	tout en basse casse fasse que ne lasse et ne tasse en nasse je masse tu passes	08/09/2006	J’aime voyager de concert et ne voyage de conserve qu’avec les sardines dans leurs boîtes ou les Parisiens dans leur métro.
09/09/2006	J’erre méticuleusement clos.	10/09/2006	Rencontrer les Autres et trouver Soi
11/09/2006	Les ani-mots Un tour de cochon, quelle vacherie !	13/09/2006	Fais confiance en l’amour, délivrance pour l’âme.
14/09/2006	Fines et longues mains, dessinées pour masser. Peau de caresses sèche, avant de trépasser, par un dernier frisson attend d’être attendrie. Adepte serais-tu de la polyandrie ?	15/09/2006	Si croire la malice, mène à l’hallali, si boire le calice jusqu’au bout de la lie, si déborde la coupe d’une goutte de souffrance, lors aborde vent en poupe et en fou de transe.
17/09/2006	J’avais un mot à propos des trous de mémoire mais voilà, je l’ai oublié...	18/09/2006	Ah oui ! La nature ayant horreur du vide, comment se comble un trou de mémoire ?
19/09/2006	Sois-toi, lève et deviens, Transforme l’air de rien, Fais-en l’aile du lien, D’un coup d’aime de bien Jamais laisse les tiens.	19/09/2006	Haine-amour es-tu le couple des amours reines ?
21/09/2006	Quand la France a de l’eau dans son Gaz, on dissout le souci dans un canal !	22/09/2006	L’outil n’est pas la méthode, il n’en est que le support.
23/09/2006	Les ani-mots Ne joue plus au chat et à la souris, aux chat(te)s souris de toutes tes joues.	24/09/2006	Les ani-mots Suffit-il d’être frisé comme un mouton pour devenir doux comme un mouton ?
25/09/2006	Allez, les “non-alignés”, en rang pour une rentrée, en ordre non dispersé.	26/09/2006	Les ani-mots Alouettes surprises de se découvrir sans tête dans un miroir aux alouettes surprises de se...
27/09/2006	Le monastère amène à s’taire.	28/09/2006	Aimable n’est pas aimant.
29/09/2006	Saisissant de ma vie les rênes, sans les confier à une reine, la liberté deviendra mienne. Cette antienne devienne sienne !	30/09/2006	Mets-toi au modelage, remède aux maux de l’âge.
29/09/2006		01/10/2006	Lux fiat nec mergitur.
02/09/2006	Si des présidentiables, avant le “Grand oral”, des ex et gouvernants faisions le “Grand total” ?	03/09/2006	Furtivement, je deviens frugivore. Furieusement, tous les fruits je dévore.
04/10/2006	Pour remplir une tasse, inutile de prendre la lance à incendie. Un filet d’eau suffit, posément efficace.	05/10/2006	Et un et deux et trois ! P.S. : ce n’est pas du foot.
04/10/2006		06/10/2006	Pourquoi y a-t-il toujours un bémol et jamais un dièse ?
08/10/2006	Déjà là-haut le swing battait son plein. Claude a rejoint Sydney, son duettiste. Ils vont s’offrir des géantes nuits blanches !	09/10/2006	Le Je ne vaut pas le chant d’elle.
08/10/2006		10/10/2006	Si manies je quittais, pourrais m’humaniser ?
11/10/2006	Ce que je ferai demain ne m’inquiète pas, avec qui je le ferai me tracasse plus.	12/10/2006	La perfection atteinte, je n’ai plus un cheveu, même pas sur la langue. Bref plus un seul défaut. Quelle jolie vitrine ! Quelle jolie vie triste !
13/10/2006	Je déteste le plus chez toi ce que je réprouve chez moi, que j’ai enfoui au fond de moi.	12/10/2006
14/10/2006	L’Homme, une ration de rationnel, l’irradiation d’irrationnel, relaxation du relationnel, radiation du conceptionnel.	15/10/2006	La supériorité de l’Homme tient en sa capacité de créer l’outil mais la valeur de l’outil ne réside qu’en l’usage que l’on en fait.
16/10/2006	Excluons l’exclusion !	18/10/2006 (Serge)	Incluons l’inclusion !
19/10/2006	Non pas obscène, elle est trop saine, ni obsédant, ni trop s’aidant, de ses accès, je dis assez. Si trop abscons, bois un flacon, fredonne un psaume et fais un somme.	20/10/2006	Telle l’inondation d’un fleuve débordant, tel un raz de marée qui succède au séisme, l’excès de don submerge.
21/10/2006	Le tatouage marque la peau. À tout âge, on parque les maux.	22/10/2006	Atteints de polysémie aiguë, certains mots deviennent ambigus.
23/10/2006	Liberté individuelle, détérioration graduelle, amertume résiduelle.	24/10/2006	Due au décor, la rencontre génère-t-elle un dû aux dames ?
25/10/2006	Moi le premier, j’ai fait cela... Moi la première, j’ai réalisé ceci... Moi le premier, j’ai mis en place ça... Moi M’dame, moi M’sieur...	27/10/2006	La pub nous assomme et nous consommons comme des cons sommés de consommer.
28/10/2006	Que pas grand chose ou grandes choses fasses, une heure en plus tu auras pour le faire !	29/10/2006	Quand d’horizontaux vertigos m’entraînent en tourbillonnant dans un effarant marigot, mon esprit tourne en tâtonnant, ouvre la porte du frigo et s’envole vers l’étonnant, à travers des ciels indigo, rallier du vrai, du frissonnant.
30/10/2006	Si ton but l’éveil est, pratique les veillées. Ta compagne éveillée le parler révèle et... te rendra réveillé.	29/10/2006
31/10/2006	Qu’écrirai-je plus tard, nageant dans le bonheur ?	23/11/2006	L’outil se met au service de l’Homme et non l’inverse.
24/11/2006	Je brasse de l’air, le brasse à l’eau. Je tombe à pic, ça tombe à l’eau. Je croise un ange, un angelot joue à cache-cache, le cachalot.	25/11/2006	IL est parti dans un “taxi mauve” pour un long “pique-nique”, une “grande bouffe”, pas “bossu” pour deux sous, bien droit comme un “grand duc”. “Zazie, dans le métro” puis “la fille de d’Artagnan” lui ont fait un bout de chemin. Enfin, tenant la main de la “vieille fille”, il rejoint ses “copains” au pays qui ignore les “ripoux” et qu’on appelle au “cinéma... Paradiso”. Il l’accueillent aux cris de “que la fête commence”. Pris d’une “grosse fatigue”, avant la “veillée d’armes”, il avait raccroché son “vieux fusil” au râtelier. Lui qui aimait “la vie et rien d’autre”, emporté d’un “coup de torchon”, devenu “Alexandre le bienheureux”, il est parti pour une “vie de “château” en Suède” ou ailleurs, qui sait ? en emportant juste sa “mandarine”. Pour “tout l’or du monde”, nous, sa “Famiglia”, nous dresserons “contre l’oubli” et bien avant “l’été prochain”, “Monsieur Albert” alias Philippe Noiret nous charmera de son œil et de sa voix de “tendre voyou”.
26/11/2006	Explorant sa topographie, maniant la typographie en mangeant des topinambours, je disais trop de calembours.
27/11/2006	Les ani-mots Même en marchant sur des œufs, ne piétinons les crânes d’œufs.
28/11/2006	Dans la tourmente (euse) de la pré-campagne, de la campagne à venir, de l’après campagne et d’un après sans campagne, je vais prendre ma carte au Parti d’en Rire avant de partir en mourir.
29/11/2006	Une fois résolu le passé révolu, enfin résolument, je pars évoluant.
02/12/2006	Si tu te dis “Je mets les bouts”, choisis plutôt “Je mets les dires”. Hais mes laids dires, aimer les dires, démêler dires mais par quel bout ?	03/12/2006	L’enfant reçoit et prend tout autant qu’il s’oppose. Il dépend mais apprend et son autonomie ose.
04/12/2006	Proclamons même si c’est notoire : « Le trottoir n’est pas un crottoir ! »	05/12/2006	Se réduire à séduire, c’est luire et puis s’enfuir.
06/12/2006	En vertu – mais en est-ce une ? – du culte de la personnalité, il aurait pu proclamer sa candidature en ce jour de fête.	07/12/2006	Ce matin tu avais manifesté. Serais-tu quelque peu manipulé(e) par ceux même qui ont manigancé ce défilé manqué si maniéré ?
08/12/2006 (La MàÉ)	Mes très beaux temps seuls caressent dans le lointain d’infinis et adorables bonheurs avec leur jolie paresse... adulée.	09/12/2006	Du mardi jusqu’au lundi, la vie s’écrit et se vit. Et ainsi je m’écrie : « Vis ! »
11/12/2006	C’est l’amer missel où j’ai perdu mon Ça. Je crie par le Surmoi à qui me rendra Moi...	12/12/2006	L’inespérée s’insinue et sinue dans mes sinus son innée féminité nue, si nue, qui nous unit.
13/12/2006	Expérience du tonneau de Pascal La partie la plus solide explose sous la pression de la partie la plus faible.	14/12/2006 (La MàÉ)	Hormis les puissants et adorables vertiges, ses anciens chants alanguis tendent doucement les extases blessées et ensevelies.
13/12/2006		16/12/2006	Édition spéciale Avant la prochaine édition des élections, se lèvent en proche sédition des électeurs, bravant l’approche et disant Non aux candidats au concours de la plus forte langue de bois.
17/12/2006	Tu ne sais pas tout mais si tu le sais et oses le dire, c’est déjà beaucoup.	18/12/2006	Avant d’aller au marché, je consulterai l’oracle, l’indice de consommation... des ménages étazuniens. Et je saurai si j’achète deux kilos ou cinq cent grammes de ces beaux topinambours.
19/12/2006	Le comble du feignant Le feignant feint d’avoir faim.	18/12/2006
20/12/2006 (Lolo)	Il faut tuer le temps mort.	21/12/2006 (La MàÉ)	La vaste externalisation développe avec détermination des richesses prévisionnelles.
22/12/2006	Particuliers et uniques Moi qui aime tant lire sur le compteur de mon auto des nombres particuliers comme 12345, 25252, ou encore 66199, j’ai vu hier 97058. Rien de remarquable, pourtant je l’ai regardé passer avec tendresse quand j’ai compris qu’il était unique.	23/12/2006 (La MàÉ)	Mon suave masque frôle ma nostalgie noire malgré un sémillant et remarquable corps.
22/12/2006		26/12/2006	Feignant de s’activer, le feignant n’est pas fainéant puisqu’il fait au moins quelque chose, feindre !
28/12/2006	Qu’ont-ils donc fait tous ces sapins pour les enguirlander ainsi ? Aidons plutôt les empotés à se lâcher et dépoter.	29/12/2006	Les ani-mots Les chats ne font pas des chiens pourtant quelquefois la montagne accouche bien d’une souris.
30/12/2006	Bizarrerie Gourmet n’a pas de féminin sinon gourmette ! La Femme serait-elle interdite du doux plaisir de la bonne chère ou de la chair tout court ?	31/12/2006	Si tu as peur de te lancer, dis-toi qu’avant de savoir faire, personne ne savait rien faire. (Remplacer faire par parler, lire, écrire, chanter, danser, aimer...)