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La Machine a écrit |
Lyrique |
Mes noirs vices effleurent bien plus la rose nuance exilée. |
Lyrique |
Ton ardente audace charme maintenant mes faibles gouffres. |
Lyrique |
De néfastes armures parlent cependant d’une vraie beauté douce. |
Lyrique |
Tes sourires ravis se rapprochent tellement vers mes suaves appas. |
Lyrique |
Ton malheureux chant bref comble les bizarres et néfastes joies. |
Lyrique |
Ces légères grâces trouvent sans fin ton éternel aliment secret. |
Lyrique |
Son automne dérisoire détruit mon ciel ardent. |
Lyrique |
Un sublime travail portera bientôt les futurs étés. |
Lyrique |
Mes noirs jardins brillent obstinément derrière un malheureux serment. |
Lyrique |
Son heureuse langueur combat pendant ce temps les durs travaux devant un faible oubli. |
Lyrique |
Une sombre et faible solitude effeuille inlassablement des filles infinies. |
Lyrique |
Ses sublimes et sombres parfums passent intensément entre les destins idéaux et les fragiles élégances. |
Lyrique |
Le beau délire ravage son illusion familière entre ton tendre feu si serein et mon adorable douceur. |
Lyrique |
Ses sublimes et sombres parfums passent intensément entre les destins idéaux et les fragiles élégances. |
Amoureuse |
Le beau délire ravage son illusion familière entre ton tendre feu si serein et mon adorable douceur. |
Lyrique |
Un néfaste matin traverse mes songes mystiques suivant une ardente angoisse. |
Lyrique |
Des sublimes et rouquines clartés ravagent encore ce courage mystique dans une lente nuit. |
Lyrique |
Mes chastes jardins troublent pendant ce temps sa belle liberté. |
Amoureuse |
Mon suave chemin abandonne cette peu remarquable terre obscure. |
Amoureuse |
Des éternelles et adorables clartés languissent jalousement entre de pires feux et de vraies aubades. |
Amoureuse |
Ce cœur suave et mignon effleure doucement sa richesse délaissée et facile. |
Amoureuse |
Cette pensée élancée sème mes belles lumières heureuses entre les temps adorables et une chaste sève délaissée. |
Pro |
Les fortes ressources parviennent trop à de riches résultats. |
Lyrique |
Mes très beaux temps seuls caressent dans le lointain d’infinis et adorables bonheurs avec leur jolie paresse... adulée. |
Lyrique |
Des bienveillantes morosités rassemblent jalousement les délires funèbres et faciles dans un amour. |